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Enquête au Bon Sauveur à Albi: en psychiatrie, le risque zéro n'existe pas

Quel suivi pour les personnes connues pour des troubles psychiatriques?

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19 février 2018 à 10h41 par Laurent Batigne

Comment une personne connue pour des troubles psychiatriques sévères, peut-elle se retrouver au contact de la population? Qui organise sa surveillance et son suivi? C'est ce que nous avons cherché à comprendre après le meurtre d'une enseignante à Albi en Juillet 2014. Une mère de famille déséquilibrée avait poignardé l'institutrice dans sa classe à l'école Edourad Herriot à Albi. Cette femme avait été traitée au Bon Sauveur à Albi. Elle avait été internée pendant trois mois avant de ressortir en avril 2014 avec un traitement et des rendez-vous médicaux.

La famille de la victime a déposé plainte contre X pour savoir qui est responsable.

Gilbert Hangard, est directeur général du Bon Sauveur à Albi, il nous explique comment les médecins et les équipes évaluent les patients avant de les réintégrer avec la population:

 

 

Et malheureusement, selon Gilbert Hangard, le risque zéro n'existe pas: