Feu au camp du Ger.
C’est le 3e depuis le début de l’année, 5 hectares ont brulés hier. Résultat : le colonel des pompiers du SDIS, Patrick Heyraud réagit dans la dépêche du midi ce matin. « Je suis persuadé qu’il y a un facteur humain derrière tout cela » déclare ce gradé. Et afin de prévenir d’ éventuels actes de malveillance, «militaires, pompiers et gendarmes se sont accordés pour mettre en place des rondes de surveillance du camp, à tour de rôle. » RB
Publié : 13 mars 2015 à 8h46