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Le ciel s'éclaircit pour Futurol.

Futurol, l'entreprise de volets roulants est en redressement judiciaire depuis le 19 novembre dernier. A l'époque les 204 salariés tarn-et-garonnais avaient reçus un coup de massue sur la tête parce que les carnets de commande étaient pleins. La faute à un client, mis en redressement judiciaire aussi, qui leur devait 1 million d'euros. Jean-Michel Baylet avit alors enfilé sa casquette de président de la communauté de communes des Deux-Rives pour saisir le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, de cette affaire. Aujourd'hui tout n'est peut être pas perdu. On connaît le nom d'un potentiel repreneur. Il s'agirait du numéro deux du volant roulant, New Cap, dont le siège se trouve à Chartres. Et nous en avons appris un peu plus en demandant à Jean-Michel Baylet ce qu'il en pense.   BV, MP

1er juillet 2015 à 8h36